Guillaume CAMBRAY

Ce petit mot pour témoigner de toute ma compassion dans ce moment de grande tristesse. Je t'embrasse Brigitte ainsi que tes deux garçons. Annie

Mon cousin，

Je n'arrive toujours pas à croire ce que j'ai appris ce matin...
Malgré nos 15 ans d'écart, mais réunis par notre date d'anniversaire commune, tu as toujours été quelqu'un que j'ai beaucoup apprécié, un bon vivant, le verbe haut, chaleureux et affable.
Il suffit de lire tous les messages de tes amis et de ceux qui t'ont aimé pour se rendre que tu étais foncièrement quelqu'un de bien.
Ben est très, très peiné de cette terrible nouvelle. Il avait eu plaisir à discuter avec toi de tes années en Angleterre.
Tu es parti rejoindre tes parents, Papy, Mamie et ton oncle et parrain qui t'aimait tant, 6 mois et un jour, jour pour jour après lui...
Grosses pensées émues et tout notre soutien à Brigitte, Gwen et Camille.
Nous vous embrassons bien fort,
Mélanie, Ivane, Yann, Ben, Elise et Sean

Ho Salette ! T'y as fait une cagade, là !
Hé Guillaume le marseillais, là tu nous fait plus rigoler !
Ho Guillaume le motard, tu pouvais pas rester plus tard !
Ha Guillaume l'ami vrai, tu vas tarpin nous manquer !
Tendresse et soutien pour Brigitte et Gwen...

Quel choc à l'annonce de ton décès !
Trois jours avant on se voit, malheureusement en cours de vent cette fois ci, trois jours après on te pleure.
Quelle tristesse de me dire que nous ne partagerons plus nos apéros embrumés...
Je vous ai vu arriver, il y a si longtemps,tel des chenilles processionnaires en Provence de votre Massilia,.. débarquer dans nos montagnes, sans dégun à par quelques peluts et des moutons...
Car oui pour nous, tout ce qui vient du 13 et marseillais, un point c'est tout, et allez l'OM ! Petit kiff, là tu ne pourras pas me dire, "j'en ai rien à foutre du foot et en plus je suis de Martigues..."
Christian aura été à jamais le premier, à y vivre et à y mourir, te précédent de si peut comme s'il sentait que t'allais lui griller la priorité, et à qui je pense tendrement, nos échanges me manquent aussi.
Il aura été ton éclaireur, j'espère que tu t'es pas barré parce-qu'il t'as prévenu que c'était pas si mal que ça... Si c'est le cas, n'informe pas trop tôt les autres petites chenilles qu'on veut garder encore longtemps avec nous et aux quelles ont tiens tant.
Je t'embrasse mon pote où que tu sois et si tu repars pour une nouvelle vie que celle-ci te face rayonner encore plus.

La family des hautes Corbières

Guillaume, nous avons partagé la fin de l’enfance, traversé l’adolescence et vécu ensemble le début de notre vie d’adulte.
Du rire, beaucoup de rires, des discussions parfois si vives qu’on en oubliait le point de départ.
Les bécanes et des aventures en 2cv ou en BMW 2002 avec un son … aux petits oignons ! Lorsque aujourd’hui j’entends certains vieux morceaux de ZZTOP, je reviens à cette époque, dans cette BMW avec toi et toute la bande.
Guillaume, force de la nature, toujours plein de projets, d’énergie, d’envies, curieux de tout et de tous.
Un mec avec un cœur énorme que l’on ne peut pas, qu’on ne veut pas oublier.
Tu es parti trop vite, tu laisses un grand vide. Je t’aime mon ami.
Mes pensées pour Brigitte et ton fils.

Cher Guillaume,
Nous avons été abasourdis d'apprendre ta disparition ! C'est inimaginable ! Tu étais quelqu'un de tellement costaud, dedans et dehors, si enthousiaste et plein d'énergie. Dès notre rencontre il y a plusieurs années, tu t'étais montré d'une telle gentillesse et d'une hospitalité que je n'oublierai jamais. Super cuisinier aussi, passionné de rock'n'roll et de moto... Tu étais généreux avec les gens que tu aimais, plein d'humour et parfois de causticité, mais ça avait du sel ! Tu semblais impossible à terrasser, et t'étais montré bien plus fort que les épreuves que tu avais traversées ces dernières années...
Tu étais vraiment un mec bien.

Nous sommes de tout cœur avec Brigitte, avec qui tu formais un couple du tonnerre, et avec Gwenn...

Sandrine, Ludo, Arnold et Diego

Ce départ hâtif nous attriste et tu nous manques déjà. Seuls le temps et les souvenirs atténueront notre peine. Nos sincères condoléances à Brigitte et Gwenaël. Nous vous souhaitons force et courage dans ces moments douloureux et nous sommes de tout cœur avec vous.
Amitiés sincères

L’époque Cathare de Guilhem l’occitan



Je me souviendrais, sans cesse,
De nos soirées agréables et des moments passés ensemble,
Pleines de rebondissements et d’originalités,
Quand bien même scandées de polémiques
Dont nous savions être complices.

Nos différences mutuellement acceptées étaient
Dans nos discours une joie de partager nos positions,
Autour d’un barbecue et d’un verre,
On parlait bien et avec intelligence,
De tes passions, ta culture passionnée entre autres des cathares.

Et soudain, tu nous quitte à l’anglaise,
Suites à tes années d’hospitalisation et de résilience.
Tu resteras toujours dans ma mémoire,
On était complices et généreux,
Prêts à aider l’autre, mon beau-frère, tu as toujours été présent et le restera.

Bravos d’avoir mis ta famille a l’abris,
Tu étais un père ferme et exigent pour le bien des tiens,
Un combattant malgré tes handicaps et les années d’hospitalisation,
Tu as réussi à relativiser depuis ton lit des frustrations subies,
Un Cow-boy qui avait peur des aiguilles de prises de sang.

Tu étais un coureur d’information et soif de culture,
Avec ta voiture, véritable « aspirateurs à minettes »
Et ta passion des motos que tu achetais, réparais et bichonnais,
Et ton acharnement pour vivre,
Pour les autres.

Et soudain, sur la ligne d’arrivée,
Tu te fracasses injustement et brutalement,
Que dieu gardien de ton âme, te protège,
Tu nous quittes, on t’aime,
Tu resteras dans nos mémoires comme une belle personne.

A jamais

Varinc

Je me rappelle une personne au grand cœur, généreux, qui savait recevoir.

Tu ne me connaissais pas et tu m'as accueilli comme si j'avais toujours fait partie de votre bande.

Tu aimais la bonne bouffe, le bon vin, la vie …
Ta joie, ta bonne humeur ainsi que ta gouaille sont ancrées dans mes souvenirs.

Tu m'as fait découvrir la foire de Mouthoumet, je m'attendais à un grand rassemblement, tu me l'avais si bien décrite, je me suis retrouvée dans un champ avec quelques animaux qui semblait perdus au milieu de nulle part.

Tu nous avais parlé de ce fameux restaurant où l'on mange comme au moyen-âge sans couverts. Je n'y suis jamais allée mais j'en avais l'eau à la bouche.

Ta région tu l'aimais et tu savais la faire aimer.

Notre dernière rencontre était autour d'une bonne tablée "le cochon ventru" où tu nous avais invité avec Michel.

Un bon vivant comme toi ne pouvait pas faire l'impasse sur un dîner entre amis.

Quelle chienne de vie de t'avoir rappelé si tôt.

De tout cœur avec vous, Brigitte et Gwenaël.